POURQUOI LA VALEUR SACREE LA PATIENCE

Un frère m’a raconté une histoire il y a quelques jours. J’étais glacé, figé là où j’étais assis.

Un voleur a été pris en flagrant délit. La police a été alertée. Une fois arrivés chez lui, les agents ont eu du mal à le maîtriser. Il a tellement résisté qu’ils ont dû appeler du renfort pour réussir à l’emmener au commissariat.

Le lendemain, un autre policier, qui n’était pas de service le jour de l’arrestation, est venu prendre la relève. On lui a montré les personnes arrêtées, y compris le fameux voleur qui avait tant résisté la veille.

Ce policier, en regardant le voleur, lui a dit :

« C’est toi qui faisais tout ce bruit hier ? Même devant les agents ? Tu comptais sur quoi ? Tu pensais être plus fort qu’eux ? »

Puis il lui a donné un seul coup, juste un. Le voleur est tombé… et il ne s’est plus jamais réveillé.

Il est mort sur place.

Aujourd’hui, ce policier est en prison.

Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Il y a aussi un monsieur de chez moi. Un jour, après une dispute avec sa femme, il a voulu la frapper. Elle s’est mise à courir, lui aussi l’a poursuivie. En courant, elle a trébuché sur quelque chose, est tombée… et elle est morte sur le coup.

Ce mari a fait plus de 10 ans en prison, juste pour un moment de colère.

 Un simple instant de patience peut nous épargner toute une vie de regret.

 Une seconde de retenue peut nous sauver de dix années de souffrance.

 Que Dieu nous donne la sagesse de réfléchir avant d’agir,

et qu’Il nous garde loin des décisions qu’on ne pourra jamais réparer.

Bon nouveau Mois à vous.

Francis Sagbo Anato